Bateau Coulé décalé

A weird tax coming soon!

J’Défends les idées (dominantes)

Je salive, j’nai pas un rond

J’ai fais le bac, l’écholalie, je me selfie, le cul dans les WC, j’ai fais le con aussi, mais je te supplie

Mes études ne valent pas tout le supplice, je crève et je m’endors la nuit, dans un dîner cossu, le jeans trop serré;

La pluie glisse sur le visage et la vestale à crié au ciel, un corbeau lui répond doucement - va te faire foutre, en riant, s’envole, soulevé par la poussière de la ville, les abris d’autobus, les autocars en route vers nulle part, puisque déjà la fin a eu lieu, et je me suis égaré dans un renouveau spirituel, frites-mayo;  les jobs sales, c’est le métier des big boss, un sac de poudre, les yeux postés aux frontières de la station orbitale, à 8h du mat!  Le front nimbé d’un crucifix complètement recouvert par l’orage, et le désir austère des églises, des enfants répudiés.  Je sniffe la colle, la merde de contrebande et l’alcool frelaté; je me tiens tout droit, comme une église-halle, je vends des hardes aux gentilshommes qui me supplient d’acheter leurs gadgets! De courir les marathons et de voter tard pour éviter le parti pris, j’ai la monnaie pour le semi, comment ça va, petit ménage à trois, j’ai la monnaie et je zigzag avec mes coquelicots, l’esprit libre comme l’air, j’ai la monnaie qui faut, et le semi automatique fait tout voler en l’air, à l’étage les friandises et par terre gisent les corps, des dessins violents, de têtes arrachées.  Ici la terre souffre encore, les dunes de sable arborant des villes démesurées aux confins des déserts, des princes et l’or noir, des rêves et des continents échoués.

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SÉBØ