Intertextu, parce qu'il faut ke la rime, aiguise *en intertextant*
Que les syllabes pètent dans le microphone
Parce que tu rappes clean, paraît-il
Ici-bas, les salauds sont tous les mêmes ; l'enfance, l'éducation, la politique
La guerre, la vieillesse, et on renaît
Un peu d'orgueuil, un égo en format, d'église
Un évangéliste et son mystère, moi, 'j'avance
J'm'accroche au mélodrame, ici, mes textos crament
Mon bonheur est cuit, façon Mossoul, mine de rien
L'actu des mots-clés se dérobe à l'horreur fade
Applatie sans doute par le flux caché, la baffe
Les conflits que les gros infligent aux orientaux; navrant, n'est-ce pas?
Se désorienter serait de mise, une mode
Que l'analphabète récite de façon chaste
Les clés en mains, les codes d'usage, l'enfer? Certain...
Certaines remarques, désobligeances, regards croisés, échantillons
Spleen millénaire, atrocités, peuple immature
Veste solide, gestes solubles, parmi la foule
Les oraisons, les schémas, les forêts troubles
Où poussent des climats incertains, de vastes contrées,
Rire des hyènes, des hécatombes, pressurisées
Nos antichambres, sont des courses, et des acabits
Charognards endimanchés, le son pétarade
Tiens, le jeu déclenche la folie, le tueur en proie
Se bat contre son gré, son personnage palpite
Balles par balles, son magasin, sa mitrailleuse
J'aime bien dire pow! Quand le délire dépasse l'azur
Que le matin est trop stressé, papi, mami
Le renfort en cas de panique, en cas de panne
Papa, maman déconcertés, bébé, momo
Crash politique, course affolée et silence noir
Sur les Smartphones, l'expression cadre avec misère
Le cash arrive, pixélisé, poudre et cyclone
Pulpe et papier, artères où le coeur gonfle, et craque
Les dommages riment avec folie collatérale
Sons stridents des pompiers, bousculades de quartier
Vols, Kalifes et Ottomans pour tueurs à gage
Rouge, café, je tiens le coup et je bats mes scores
J'enfourche le virtuel, mes skis tappissent l'île enneigée
Barques à l'horizon, cocktails, explosions
Titanic, blackout, et coups de grisous masqués
Les hommes descendent au fond du puit, crachent l'uranium
Marquent le tempo, l'ossature invisible
Le géant, lutte, braque, atterrissage chasses, et assassins
Intouchables, éponymes à leur tour, ils crient
Depuis le plus large des océans, depuis l'expression du chaos
Fakir, sa peine est un cruscifie, dit-on!
Qui a dit, qu'on ne pouvait sortir du trou seul
Branler de la queue, du trou du cul
Ça va vite, mach I, II, III; Maccadam,
Terrraux infertiles, Pégase, et tasses-toi
T'as perdu ton tour, ton maillot jaune
Tes réflexes aussi rapides qu'une tortue supersonique, à l'ivresse du son à la vitesse des regards, au ton aigri des faux-fuyants, perdant la boule fax, cellulaires et diktats, aux directeur assidu, le stylo bille te fait la bouille et te charbonne, et torpille ton cuirassé en carton mixte, en pâte à modeler, ton sourire polymère, tes matériaux flottent au coeur des océans des vastes plaines où le moindre balbutiement devient l'objet du crime, l'affliction des justiciers en direct de Mégapolis, là où bafouillent demi-dieux et policiers armés jusqu'au cou
Juste au cas où une délinquante venait à tenir son bras trop haut face à l'ordre établi, et les nouvelles inédites diffusent les bobards, les drames déchirants, ses foules en délire
Des gaz affolants, des corps attaqués, obstination éloquente des magnats déroulant barbelés ici, murs énormes par-là et par-delà les frontières, les accords, et les corps-à-corps approximatifs évoquent des conflits armés, venus d'ailleurs, mytomanes, fous errants, militaires bourrés jusqu'au nez d'opiacés pour oublier un temps soi peu l'enormité de l'assaillant masqué, fort en gueule et prêt à tout pour sauver son territoire, son grand despotisme ankylosé, ses heures, attablé, braquant les cerveaux gris, sa sauce tomate à l'italienne, et la tour à penché un peu plus aujourd'hui, et la terre se désaxe, se désacralise, avide de feuilletons futuristes, de passerelles vers l'espoir, l'incertitude assurée des cartes-cadeaux, des GIFS luminophores et des morts exaspérés.
Intertextu, parce qu'il faut ke la rime, aiguise *en intertextant*
Que les syllabes pètent dans le microphone
Parce que tu rappes clean, paraît-il
Ici-bas, les salauds sont tous les mêmes ; l'enfance, l'éducation, la politique
La guerre, la vieillesse, et on renaît
Un peu d'orgueuil, un égo en format, d'église
Un évangéliste et son mystère, moi, 'j'avance
J'm'accroche au mélodrame, ici, mes textos crament
Mon bonheur est cuit, façon Mossoul, mine de rien
L'actu des mots-clés se dérobe à l'horreur fade
Applatie sans doute par le flux caché, la baffe
Les conflits que les gros infligent aux orientaux; navrant, n'est-ce pas?
Se désorienter serait de mise, une mode
Que l'analphabète récite de façon chaste
Les clés en mains, les codes d'usage, l'enfer? Certain...
Certaines remarques, désobligeances, regards croisés, échantillons
Spleen millénaire, atrocités, peuple immature
Veste solide, gestes solubles, parmi la foule
Les oraisons, les schémas, les forêts troubles
Où poussent des climats incertains, de vastes contrées,
Rire des hyènes, des hécatombes, pressurisées
Nos antichambres, sont des courses, et des acabits
Charognards endimanchés, le son pétarade
Tiens, le jeu déclenche la folie, le tueur en proie
Se bat contre son gré, son personnage palpite
Balles par balles, son magasin, sa mitrailleuse
J'aime bien dire pow! Quand le délire dépasse l'azur
Que le matin est trop stressé, papi, mami
Le renfort en cas de panique, en cas de panne
Papa, maman déconcertés, bébé, momo
Crash politique, course affolée et silence noir
Sur les Smartphones, l'expression cadre avec misère
Le cash arrive, pixélisé, poudre et cyclone
Pulpe et papier, artères où le coeur gonfle, et craque
Les dommages riment avec folie collatérale
Sons stridents des pompiers, bousculades de quartier
Vols, Kalifes et Ottomans pour tueurs à gage
Rouge, café, je tiens le coup et je bats mes scores
J'enfourche le virtuel, mes skis tappissent l'île enneigée
Barques à l'horizon, cocktails, explosions
Titanic, blackout, et coups de grisous masqués
Les hommes descendent au fond du puit, crachent l'uranium
Marquent le tempo, l'ossature invisible
Le géant, lutte, braque, atterrissage chasses, et assassins
Intouchables, éponymes à leur tour, ils crient
Depuis le plus large des océans, depuis l'expression du chaos
Fakir, sa peine est un cruscifie, dit-on!
Qui a dit, qu'on ne pouvait sortir du trou seul
Branler de la queue, du trou du cul
Ça va vite, mach I, II, III; Maccadam,
Terrraux infertiles, Pégase, et tasses-toi
T'as perdu ton tour, ton maillot jaune
Tes réflexes aussi rapides qu'une tortue supersonique, à l'ivresse du son à la vitesse des regards, au ton aigri des faux-fuyants, perdant la boule fax, cellulaires et diktats, aux directeur assidu, le stylo bille te fait la bouille et te charbonne, et torpille ton cuirassé en carton mixte, en pâte à modeler, ton sourire polymère, tes matériaux flottent au coeur des océans des vastes plaines où le moindre balbutiement devient l'objet du crime, l'affliction des justiciers en direct de Mégapolis, là où bafouillent demi-dieux et policiers armés jusqu'au cou
Juste au cas où une délinquante venait à tenir son bras trop haut face à l'ordre établi, et les nouvelles inédites diffusent les bobards, les drames déchirants, ses foules en délire
Des gaz affolants, des corps attaqués, obstination éloquente des magnats déroulant barbelés ici, murs énormes par-là et par-delà les frontières, les accords, et les corps-à-corps approximatifs évoquent des conflits armés, venus d'ailleurs, mytomanes, fous errants, militaires bourrés jusqu'au nez d'opiacés pour oublier un temps soi peu l'enormité de l'assaillant masqué, fort en gueule et prêt à tout pour sauver son territoire, son grand despotisme ankylosé, ses heures, attablé, braquant les cerveaux gris, sa sauce tomate à l'italienne, et la tour à penché un peu plus aujourd'hui, et la terre se désaxe, se désacralise, avide de feuilletons futuristes, de passerelles vers l'espoir, l'incertitude assurée des cartes-cadeaux, des GIFS luminophores et des morts exaspérés.